En particulier, elle double les délais de droit commun de la prescription de l’action publique en matière délictuelle et criminelle, respectivement portés de trois à six ans et de dix à vingt ans, et augmente de cinq à six ans le délai de prescription des peines en matière délictuelle. Elle prévoit également le report du point de départ des délais de prescription de l’action publique pour les infractions occultes par nature et les infractions dissimulées.
La commission des lois a veillé à écarter tout risque d’imprescriptibilité de fait en :
En séance publique, nous avons notamment adopté des dispositions visant à allonger la prescription des délits de presse de trois mois à un an, lorsque les faits sont commis sur Internet.
Le Sénat a adopté ce texte.