Au Congrès départemental de la FDSEA de l’Ain, ce vendredi 16 mars à FOISSIAT.
L’occasion d’appréhender une nouvelle fois le malaise profond que connaît une profession qui subit des normes importantes, se heurte à des difficultés pour obtenir la juste valorisation de ses produits, s’inquiète notamment de l’action du Gouvernement. Fait très rare, celui-ci a utilisé au Sénat, le mercredi 7 mars, la procédure dite « du vote bloqué » dans le cadre de l’examen de la proposition de loi visant à assurer la valorisation des pensions de retraite agricoles. Nous avons unanimement dénoncé au Sénat cette manœuvre de passage en force du Gouvernement.
Dans ce contexte, je suis plus que jamais mobilisé avec mes collègues parlementaires, pour soutenir les exploitants et faire en sorte que le Gouvernement prenne en compte les réalités du secteur et les besoins exprimés.
Le modèle français est basé sur la qualité, sur des exploitations à taille humaine au service d’un patrimoine du goût. C’est pourquoi il est indispensable de le défendre et d’accompagner nos agriculteurs dont nous connaissons tous l’exceptionnel engagement.
N’oublions pas que notre agriculture est essentielle. Elle est un terreau fertile d’initiatives et de projets qui participe activement à l’économie de notre pays.