Une part conséquente des grumes de chênes quitte en effet la France sans subir la moindre transformation et sans la moindre valeur ajoutée.
Cette essence est exportée en Chine principalement, à des tarifs qui ne permettent pas à nos scieurs français d’être compétitifs.
La profession souffre du manque de matière première qui met en péril son avenir.
Il n’est pas soutenable que des grumes partent à l’autre bout du monde pour revenir en France transformées.
Que fait le Gouvernement pour faire cesser ces exportations ? Il est urgent de passer à des actes concrets.
Tel est l’objet de la question que j’ai posée ce mardi 25 janvier 2022 au Gouvernement.
Retrouvez ici la vidéo de mon intervention : https://videos.senat.fr/senat/2022/01/encoder1_20220125091259_1_9008004_9291917.mp4